And Michael Rheyss…

L’été s’ouvrant, Michael Rheyss m’annonce en aparté qu’il continue son exploration de l’histoire revisitée de la science-fiction américaine et européenne, et, qu’après convoqué les figures tutélaires de Hugo Gernsback (Bifrost n°90) et d’Isaac Asimov (Bifrost n°94) et s’être employé à décrocher la Lune (mais, tous les voyants n’étaient pas encore au vert pour le lancement), il se penche sur une autre période, ô combien fascinante et surprenante, de l’histoire du genre qu’il vénère, et promet de belles surprises. En direct de son riad niçois, rafraîchi par les mannes du réseau, et un brasseur d’air extrêmement bruyant qui n’aurait pas déparu à bord du vaisseau des Survivants de l’Infini, il travaille passionnément à la suite du cycle des Ingénieurs Cosmiques. Que les impatients relisent donc la formidable Histoire de la science-fiction de Jacques Sadoul (chez J’ai Lu, D66, 1973, chez tous les bons bouquinistes). 

… strickes again in Bifrost ! 

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The story of the Cosmic Engineers is being built, stay tuned ! 

« De l’aveu même de Rheyss, le cycle des « Ingénieurs cosmiques », au fond, est ce qu’il a toujours rêvé d’écrire : une histoire de la science-fiction par le détour de la fiction, sur une tonalité amusée (et amusante, espérons-le), généreuse (voire outrée), ne reculant devant aucune idolâtrie ou mauvaise foi (…)« 

Source : Le Bélial’, Bifrost n° 94 – Dossier John W. Campbell.

« Michael Rheyss décrit une rencontre à Paris entre le couple Asimov et un savant russe à la tête d’une organisation de l’ombre, s’appuyant sur de nombreux écrivains de science-fiction, afin de préparer le public au monde de demain. Cette organisation compte une multitude de sommités et le déroulement s’avère vraiment prenant. Bien sûr, il faut au Russe passer la brosse à reluire pour qu’Asimov aille dans son sens. “Le triangle de Lavrentiev” s’appuie sur l’Histoire, se glisse dans les interstices pour mieux développer son propos. Une photo vient même le renforcer. Une belle nouvelle pleine de sens ! »

Source : François Schnebelen, 4 juin 2019, sur la Yozone.

… is back !

Under the mighty protection of Bifrost and the great Edmond Hamilton !

« Avec une habilité remarquable, Ugo explique la vulgarisation qu’offre le genre science-fiction et la portée que celle-ci a pu avoir. Mieux encore, il montre c omment scientifiques et écrivains se nourrissent les uns des autres et poussent le genre humain vers les étoiles. Résolument optimiste, l’auteur français veut croire que nous pouvons encore regarder vers l’univers et pas simplement nous complaire sur notre boule de terre perdu parmi les étoiles. Une ode à l’amour de la SF, un hommage vibrant d’émotions à l’âge d’or et des pionniers du genre. Un texte sublime. » 

Source : Nicolas Winter, Just a Word, 2018.

1er+4e de couve Bifrost 90